Pour écrire ce roman (si petit soit-il !), nous avons dû recourir à de la documentation.
Dans le cas des Naufragés de la Morrigane, notre expérience de navigateurs nous a été très utile, mais insuffisante, en particulier en ce qui concerne le fonctionnement d’un chalutier.
Il en est allé de même lorsque l’action s’est déroulée dans des lieux où nous n’avons jamais mis les pieds ! Dans ces deux cas – et dans d’autres évidemment –, internet est venu à la rescousse (avec Wikipédia par exemple dont nous sommes souscripteurs depuis des années), mais aussi avec les images et les vidéos qui sont un excellent moyen de devenir un visiteur virtuel.
Toutes ces recherches ont pour but de donner de la crédibilité au récit, mais on pourrait dire aussi qu’elles font partie du plaisir de l’écriture, puisqu’on apprend, un plaisir dont ne pouvaient pas profiter les écrivains du passé !
Maintenant, et malgré tout cela, le livre reste pour nous la principale source d’information. Nous en citerons quatre pour ce petit roman (pour ceux qui voudraient étendre leur culture) et procéderons de même pour les romans suivants qui sont les suites des Naufragés.
Bonne lecture !
– Manuel de la voile, éditions Mango.
– Le parler marin, hors-série de Voiles et voilier.
– Le guide de la mer mystérieuse de Serge Bertino, éditions Princesse.
– Le nouveau dictionnaire de mythologie celtique de Jean Markale, éditions Pygmalion.
Pour découvrir Les Naufragés de la Morrigane
L'auteur au saxophone.
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Gabriel et Marie-Hélène.