Plongez dans les coulisses du Livre des douze heures de la nuit... La mer Rouge...

La mer Rouge

 

Dans notre roman, Le Livre des douze heures de la nuit, nos jeunes héros naviguent allègrement sur la mer Rouge pour rallier l’Égypte au Soudan. Ils ont à leur disposition une vieille embarcation, n’ont aucun instrument électronique, de type sondeur ou GPS, et aucune carte papier pour se repérer. Autant dire qu’ils sont sacrément doués !

Bon, il leur arrive bien quelques mésaventures… Mais, nous sommes, malgré tout, dans une fiction au dénouement heureux, et c’est tant mieux, nos Bretons étant si attachants !

Dans la réalité, il faut bien le dire, les choses se passeraient certainement de manière beaucoup plus tragique, car la mer Rouge (qui tient son nom d’algues en décomposition) est (bien que de petite taille) l’une des mers les plus caractérielles qui soient (le mot est employé par un marin chevronné qui l’a longuement sillonnée)…

Inutile de rappeler l’actualité récente et les houthis qui bombardent régulièrement les cargos internationaux dans ce passage qui permet d’éviter le cap de Bonne-Espérance, car il y a bien d’autres dangers, en particulier en période de mousson (celle précisément où naviguent nos intrépides héros). En effet, à cette époque de l’année, les cyclones y sont fréquents, sans oublier les tempêtes de sable qui réduisent à néant la visibilité !

Quant à la baignade (même si l’eau est à 25 degrés), mieux vaut l’oublier, car le fameux requin Mako pullule dans les parages, et cet animal — admirable au demeurant — fait jusqu’à cinq mètres de long, peut nager à soixante-dix kilomètres-heure, et n’a rien contre un bon quartier de chair humaine !

Alors, bon voyage, mais pour plus de sécurité en car-ferry ou… en lisant notre roman ! 

Pour aller plus loin

Retour de lectrice : "Un livre qui réserve pas mal de surprises !"

2nd extrait vidéo

Retour de lectrice : "Un roman d'aventure captivant".

Commentaire 5 étoiles : "Sensationnel".

Retour de lecture : "Entre péripéties, rebondissements, suspense et voyage […] on ne voit pas les pages filer."

Ressenti : "Merci pour ce superbe récit ! J'ai adoré !"