Résumé
Une approche intemporelle et singulière pour atteindre son
plein potentiel.
Savoir être soi au cœur d’un monde de plus en plus pressant
est essentiel pour conserver son énergie. Ce livre présente douze clés issues
de la pensée chinoise pour y parvenir en identifiant les pièges qui nous
éloignent de nous-même, de façon à retrouver notre chemin personnel. Combinant
sagesse taoïste et pragmatisme contemporain, l’autrice identifie avec finesse
les postures et les croyances qui brouillent les pistes, échauffent l’esprit et
fragilisent le corps. Chacun des douze chapitres opère comme un antidote adapté
à une situation particulière d’inconfort ou de questionnement, et propose des
solutions concrètes et des actions salvatrices. Cet ouvrage restaure la
conscience de notre individualité, condition de la vitalité et de la longévité.
Écrivaine et conférencière, Marie-Pierre Dillenseger est
praticienne des arts chinois consacrés aux forces spatiales et temporelles
(Feng Shui, Yi Jing, Énergétique, Art de la guerre, Astrologie...). Elle a
développé une approche fondée sur l’économie des énergies individuelles et le
renforcement de la vitalité des personnes, des projets et des entreprises
qu’elle accompagne. Ces outils font merveille aussi bien dans des situations
quotidiennes que pour l’aide à la procréation ou la clarification de liens
karmiques et ancestraux.
Ils recommandent !
"L’autrice décode le Temps et l’Espace ; elle propose
un outil aussi pratique que précieux pour mieux comprendre et composer avec les
énergies qui nous animent." — Stéphane Allix
"Cette pratique s’adosse à un art plusieurs fois
millénaire et offre chaque jour plus de chances à de futurs parents." — Dr
Didier Delafontaine
Notre chronique
Interview
Un titre fort pour un ouvrage qui se lit comme une évidence.
Un livre simple, mais très pertinent et profond, un livre qui permet de
remettre beaucoup de choses en perspective et d’avancer vers l’accomplissement
de soi, de façon éclairée et complète.
De nombreuses références bibliographiques, des exemples parlants tirés de l’expérience de l’autrice, des chapitres clairs et bien construits, conclus par des exercices simples à mettre en place à son rythme, petit à petit.
Un livre que l’on ne peut poser une fois ouvert, qui nous parle et nous fait du bien. What else?
De nombreuses références bibliographiques, des exemples parlants tirés de l’expérience de l’autrice, des chapitres clairs et bien construits, conclus par des exercices simples à mettre en place à son rythme, petit à petit.
Un livre que l’on ne peut poser une fois ouvert, qui nous parle et nous fait du bien. What else?
Quelle lectrice êtes-vous
?
Fidèle. Quand un auteur me touche, je lis tous ses livres.
Et je dévore les bibliographies qui sont pour moi des mines d’or en
perspective. Je lis souvent d’une traite. Les mots sont des amis et leur
présence est palpable.
Quand avez-vous commencé
à écrire ?
À dix ans, en été, ma mère m’a suggéré d’écrire une histoire
par jour et de l’illustrer. Je me suis prise au jeu sur des cahiers faits
maison. Je me réveillais chaque matin curieuse et en alerte du sujet du jour.
J’ai gardé ces textes et ce sont de merveilleux souvenirs.
Quel retour de
lecteur/lectrice vous a le plus émue ?
Chaque retour compte, car il valide l’effort et le temps
consacrés à l’écriture. Je suis particulièrement émue quand je sais que le
livre voyage avec son lecteur. J’ai reçu des photos du livre en vadrouille en Antarctique,
en Himalaya et sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Une personne m’a
dit que sans l’exercice que je donne pour se séparer d’un tableau, elle
n’aurait jamais eu le courage de vendre la maison de famille.
Quand écrivez-vous ?
Avez-vous un rituel d’écriture ?
Je dirais rythme plus que rituel comme lorsqu’il est
possible de consacrer plusieurs jours d'affilée à l'écriture. Je me retrouve
alors comme l'athlète bien échauffé qui court sans obstacle. Écrire et voir la
lumière du jour sur la table de travail changer au fil des heures est magique.
Ma concentration est maximale quand mes chats sont présents, l’un à mes pieds,
l’autre sur le coin de table.
Quel a été votre plus
grand bonheur littéraire ?
Rencontrer Julien Gracq suite à l’envoi d’un mémoire sur Le
Rivage des Syrtes. Il m’a écrit et nous nous sommes vus, lui qui était si
discret. Sa validation de mon angle de lecture m’a transportée, car
contrairement à la critique, j’affirmais que son usage des italiques était au
service de la respiration du lecteur et non pas une invitation à
surinterpréter. J'étais déjà attentive à ce qui nourrit la vie plus que la
tête.
Quand et pourquoi
avez-vous décidé d’écrire Oser s’accomplir
?
J'étais lourde de ce texte depuis longtemps. Je voulais à la
fois accompagner les personnes que j’ai en consultation entre les rendez-vous
et permettre à un maximum de lecteurs d’avancer, en mode autonome, dans leur
propre chemin d’accomplissement. Il y a avait la double conscience d’une
urgence et d’une limite à être agissante pour ceux que je ne pourrai jamais
rencontrer en personne.
Comment jonglez-vous
entre l’écriture et votre métier ?
Vous semblez comprendre le défi que cela représente ! Pour
le premier livre, je m’y mettais tous les soirs après les consultations de la
journée et 45 minutes de piscine et les week-ends. Pour le second, j’ai été
raisonnable et bloqué des semaines off sur le planning. Mes clients ont été
formidables de compréhension et de patience.
Êtes-vous en train
d’écrire un nouvel ouvrage ?
Officiellement non, mais le sujet du suivant s’est imposé à
moi dès que j’ai remis le manuscrit d’Oser s’accomplir. J’ai de nouveau un
petit carnet dans mon sac qui me permet de noter ce qui doit l'être quand les
mots surgissent.
Le mot de la fin ?
C’est plutôt une anecdote sur le début ! quand j’ai osé
m’atteler au précédent, je n’arrivais pas à écrire. Jusqu'à ce que je pense à
m’y mettre en anglais. Et tout est devenu fluide. Sauf que mon contrat était
pour un ouvrage en français. Quatre mois avant la date de remise du texte,
j’avais un livre en anglais qu’il fallait entièrement traduire en français ! Un
marathon. Le passage à une autre langue a été libérateur. Oser s’accomplir a
été écrit directement en français.
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Gabriel et Marie-Hélène.