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12 février 2022

Prix du Premier Roman de la Ville de Limoges - les 8 ouvrages sélectionnés

Photo : Ville de Limoges
C'est avec un immense plaisir que je partage avec nous notre sélection. 
Vous pouvez retrouver nos chroniques (en cliquant sur les titres) et l'article complet de Lire à Limoges ici.

Ultramarins de Mariette NAVARRO (Quidam éditeur)
Au cours de la traversée de l’Atlantique, l’équipage d’un cargo se baigne en pleine mer avec l’accord inattendu de la commandante, une femme pourtant peu habituée aux écarts. Seule cette dernière ne participe pas à la baignade. A leur retour à bord, tous les marins sont saisis d’une impression étrange et la suite du voyage prend une tournure étonnante.

S’en aller de Sophie D’AUBREBY (Éditions Inculte)
Au XXe siècle, de la mer du Nord à l’île de Java, les épisodes de la vie de Carmen, de son engagement dans la Résistance jusqu’à ses derniers jours. Entre roman d’apprentissage et hymne à l’amitié, l’histoire célèbre l’émancipation des femmes et montre comment leurs combats d’aujourd’hui font écho à ceux de leurs aînées.

Le Parfum des cendres de Marie MANGEZ (Finitude)
Embaumeur, Sylvain Bragonnard a le don de cerner les personnalités, celles des vivants comme celles de morts, grâce à leurs odeurs. Cette manière insolite de dresser des portraits stupéfie Alice, une jeune thésarde, curieuse impénitente, qui veut percer le mystère de cet homme bourru et taiseux. Peu à peu, elle l’apprivoise et comprend ce qu’il cache.

Blizzard de Marie VINGTRAS (Éditions de l’Olivier)
Le blizzard fait rage en Alaska. Au cœur de la tempête, un jeune garçon disparaît. Il n’aura fallu que quelques secondes, le temps de refaire ses lacets, pour que Bess lâche la main de l’enfant et le perde de vue. Elle se lance à sa recherche, suivie de près par les rares habitants de ce bout du monde. Une course effrénée contre la mort s’engage alors, où la destinée de chacun, face aux éléments, se dévoile.

Aulus de Zoé COSSON (Gallimard – L’Arbalète)
La narratrice passe chaque été dans une station thermale des Pyrénées, au milieu des montagnes, dans le gigantesque hôtel à moitié abandonné jadis racheté par son père. Aux abords de la bâtisse, elle écoute et recueille les histoires des Aulusiens relatives à la météo, aux ours ou à la pollution, afin d’appréhender comment ils coexistent avec leur environnement.

Mon mari de Maud VENTURA (L’Iconoclaste)
Pour se prouver que son mari ne l’aime plus après quinze ans de vie commune, une épouse se met à épier tous ses gestes. Chaque jour, elle note méthodiquement les signes de désamour, les peines à lui infliger, les pièges à lui tendre, allant jusqu’à le tromper pour le tester. Face aux autres femmes, il lui faut être la plus soignée et la plus désirable.

Laissez-moi vous rejoindre d’Amina DAMERDJI (Gallimard)
En 1980, quelques heures avant son suicide, Haydée Santamaria, se remémore son arrivée à La Havane en 1951, chez son frère Abel, un militant de la cause révolutionnaire qui la pousse à s’engager à ses côtés. Elle évoque sa première histoire d’amour dans les bras de Boris, son implication grandissante dans les réunions politiques et sa rencontre avec Fidel Castro.

Les garçons de la cité-jardin de Dan NISAND (Les Avrils)
Hildenbrandt, en Alsace. Melvil Ischard a grandi dans l’un des pavillons de la cité-jardin où sa famille a mauvaise réputation. Il s’occupe seul de son père depuis que ses frères sont partis. Virgile, l’aîné, s’est engagé dans la Légion et Jonas, le cadet, a disparu depuis des mois. Un jour de printemps, un appel téléphonique et une rumeur viennent bouleverser la vie de Melvil.

Photo : Ville de Limoges

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Gabriel et Marie-Hélène.