Résumé de l'éditeurÀ quelques jours du réveillon de Noël, Lina se réveille et fait face à une terrible nouvelle : le Père Noël a été kidnappé ! Et la demande de rançon est aussi troublante qu’étonnante : le ravisseur exige un kilo de tendresse, une tonne de bonheur et un zeste d’amour. Il n’en faut pas plus pour éveiller le cœur de Lina qui y voit davantage un geste désespéré plutôt qu’un acte malveillant.
Désormais convaincue de connaitre l’identité du ravisseur, Lina dispose de quarante-huit heures pour tenter l’impossible…
8/11 ans.
L'auteure
Tatiana Di Rosa est née le 20 mars 1989. Sa fascination pour la littérature débute très jeune, et elle entame les prémices d’un premier roman jeunesse, La maison de Krimbaya, à l’âge de 8 ans. Diplômée d’un baccalauréat littéraire avec mention, puis d’un DUT en comptabilité, elle se consacre pleinement à l’éveil et l’éducation de ses deux enfants durant quelques années. Depuis 2020, elle exerce en tant qu’assistante dentaire au sein d’un cabinet libéral.
Bibliographie
Myrmius, Éditions Ex-Aequo, 2019
Edenis, Amazon KDP, 2020
Notre chronique
Une adorable petite fille, un ange gardien, un père Noël kidnappé -- hélas, ce n'est pas la première fois ! --, un kidnappeur au grand coeur, des aventures en cascade et une énigme digne de romans policiers font partie de l'intrigue de ce conte de Noël haletant et tendre ! Pour sauver Noël, Lina (en référence à la messagère grecque ?) assise en couverture sur un gros point d'interrogation, va devoir mener l'enquête. Un texte, magnifiquement illustré, plein d'optimisme qui ne vous laissera pas indifférent !
Pour aller plus loin
Interview de l'auteure
Quand avez-vous commencé à écrire ?
J’ai commencé à écrire à l’âge de 8 ans, de petites histoires que j’inventais préalablement dans ma tête… Je rêvais de devenir un écrivain célèbre, et j’ai commencé un mini roman à cet âge, « La Maison de Krimbaya », l’histoire de deux jeunes garçons de 8 ans (mon âge à l’époque) qui avaient trouvé un livre de légendes sur leur ville à la bibliothèque municipale, et qui s’en allaient ensuite dans la forêt à la recherche de la maison d’une sorcière pour vérifier si le livre disait vrai…
Quelles sont vos principales sources d’inspiration ?
Je puise mon inspiration dans les émotions. En effet, je vais parfois m’atteler à un certain style d’écriture dans une période plus morose, un autre style dans un état plus joyeux, etc. C’est vraiment mon état d’esprit et les aléas de la vie quotidienne qui inspirent mon écriture.
Une lecture fondatrice ? Vos 5 romans préférés ?
Les lectures qui m’ont fait tomber amoureuse de la littérature sont toutes simples, car c’était les seules que j’avais et que je lisais en boucle : la collection des « J’aime lire », les livres de l’école des loisirs, les petites collections de romans que j’avais à l’époque. C’est là, dans ma bibliothèque d’enfant que tout a commencé…
1) Au Bonheur des Dames de Zola, j’en suis tombée amoureuse à la lecture d’un extrait dans une salle de cours au lycée, et j’ai dévoré le roman… lorsque je le lis, j’ai l’impression d’être dans ce grand magasin, de pouvoir toucher les tissus, de ressentir l’euphorie qui y règne.
2) La Nuit des Temps de René Barjavel, sans doute un des romans qui allie le mieux romance et science-fiction.
3) Le Parfum de Patrick Süskind, pour son fascinant voyage dans le monde olfactif.
4) Les Fourmis de Bernard Werber.
5) Les Misérables de Victor Hugo.
Exercez-vous une autre profession ? Si oui, comment gérez-vous les deux ?
Je suis une future assistante dentaire depuis juillet 2020, et comme c’est une formation de 18 mois avec des examens qui nécessitent des périodes de révisions, j’ai malheureusement très peu de temps pour écrire dernièrement, mon temps libre je le consacre surtout à ma famille. Je souhaite pouvoir écrire davantage lorsque j’aurais fini ma formation, en mars 2022.
Avez-vous de petites manies d’écrivain ?
Si je suis inspirée et que les phrases jaillissent soudainement et se font facilement dans ma tête, il faut impérativement que je mette tout ça par écrit ! Car le lendemain il est parfois impossible d'avoir autant d’aisance pour rédiger le même passage.
Le mot de la fin ?
Prendre le temps de faire ce qui nous plaît, et ne pas s’y restreindre par la peur d’échouer…
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