Lecture en cours. Un chapitre, un billet. (extraits)
Très touché et au bord de larmes par ce que Marie-Hélène
Fasquel écrit sur ses racines et ses parents, sa passion pour ses professeurs (…).
Même envie de connaitre, de savoir et de dévorer le monde inconnu.
Ah, les fameux débuts..., là encore, je me retrouve dans les
mots de ce chapitre. Avoir envie de partager sa passion pour l’anglais. (…) la
petite boule au ventre qui ne m’a pas quittée et je la retrouve à chaque
rentrée.
Le troisième chapitre de L’élève au cœur de sa réussite est quelque peu frustrant pour
le professeur d’anglais que je suis, j’ai suivi les mêmes pistes et
Marie-Hélène Fasquel donne là quelques mises en bouche de son travail mais moi
j’ai envie de savoir comment tel ou tel projet a été mené concrètement.
Note de M.-H. : tout est développé en ligne (il faut se rendre sur les sites / partages. Tous les liens sont sur un seul Padlet, indiqué en début de bibliographie). Excellentes explorations ! :)
Note de M.-H. : tout est développé en ligne (il faut se rendre sur les sites / partages. Tous les liens sont sur un seul Padlet, indiqué en début de bibliographie). Excellentes explorations ! :)
Bravo et merci Marie-Hélène de parler de ces élèves en
difficulté avec autant de grâce. Et d’amour je crois.
Réponse : Oh oui, sinon je ne serais plus capable d'exercer ce métier avec autant de passion je pense !
Le post complet :
Dans ce chapitre, Marie-Hélène évoque avec gourmandise ses
projets d’ouverture. Ouverture aux autres cultures via e-Twinning, on l’oublie
trop, mais l’école doit aussi préparer ses futurs citoyens européens à
comprendre les autres et à bouger. Pour ma part, j’aurais aimé en savoir plus,
réactions des élèves, le travail mené (…). Mais je veux un livre pour les professeurs
et ce n’est pas le propos ici. On parle du cœur. (…) Dans tout
cela, beaucoup d’amour de l’autre au final, et une passion infinie pour le
métier de professeur ; à l’heure où l’on se plaint de l’absence de candidats au
concours, il me semble qu’il y a beaucoup pour nos dirigeants à trouver dans
ton livre Marie-Hélène.
Le post complet :
Ce qui me plaît et me séduit dans le travail évoqué par
Marie-Hélène dans les chapitres 6 et 7, c’est ce mélange de l’ancrage dans le
réel et de l’utilité de l’apprentissage de la langue avec l’exploration de
l’environnement de l’élève et sa mise en valeur. (…) Marie lui donne la parle
avec ses outils (smartphones qui peuvent donc être un outil pour apprendre, et
non pas diabolisé, ce que je partage pleinement) et valorise leurs témoignages,
les aide et les guide. Découverte du passé esclavagiste de Nantes, rencontre avec
un auteur autour de l'œuvre duquel on travaille en classe... Tout est fait pour
montrer aux élèves qu’ils savent faire et peuvent faire. Je reste sans voix
devant la beauté de la nouvelle écrite par l’un de ses élèves. Bravo à toi et à
ton élève et merci de partager. Comment s’étonner qu’elle évoque aussi l’amour entre
eux et elle ? Rien de surprenant ! Ses élèves, on sent qu’elle les a dans les
tripes et le cœur Marie. Elle valorise sans cesse leur travail, les fait
participer à des concours, met en avant leurs talents, leur regard sur le
monde. Ils utilisent l’anglais pour exister dans le monde et être lus. Et ça
marche ! Ils sont motivés, aiment ses cours. On parle, çà et là, du nouveau qui
baisse... Et si on s’attachait plutôt tous à chercher ce qui fait redémarrer ce
moteur de la motivation ? Que de clés en deux chapitres...
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