17 juillet 2019

Retour de lecteur : Frédéric Davignon lit L'élève au cœur de sa réussite

Lecture en cours. Un chapitre, un billet. (extraits)
Très touché et au bord de larmes par ce que Marie-Hélène Fasquel écrit sur ses racines et ses parents, sa passion pour ses professeurs (…). Même envie de connaitre, de savoir et de dévorer le monde inconnu.
Ah, les fameux débuts..., là encore, je me retrouve dans les mots de ce chapitre. Avoir envie de partager sa passion pour l’anglais. (…) la petite boule au ventre qui ne m’a pas quittée et je la retrouve à chaque rentrée. 


Le troisième chapitre de L’élève au cœur de sa réussite est quelque peu frustrant pour le professeur d’anglais que je suis, j’ai suivi les mêmes pistes et Marie-Hélène Fasquel donne là quelques mises en bouche de son travail mais moi j’ai envie de savoir comment tel ou tel projet a été mené concrètement. 

Note de M.-H. : tout est développé en ligne (il faut se rendre sur les sites / partages. Tous les liens sont sur un seul Padlet, indiqué en début de bibliographie). Excellentes explorations ! :) 


Bravo et merci Marie-Hélène de parler de ces élèves en difficulté avec autant de grâce. Et d’amour je crois. 

Réponse : Oh oui, sinon je ne serais plus capable d'exercer ce métier avec autant de passion je pense !

Le post complet :
Dans ce chapitre, Marie-Hélène évoque avec gourmandise ses projets d’ouverture. Ouverture aux autres cultures via e-Twinning, on l’oublie trop, mais l’école doit aussi préparer ses futurs citoyens européens à comprendre les autres et à bouger. Pour ma part, j’aurais aimé en savoir plus, réactions des élèves, le travail mené (…). Mais je veux un livre pour les professeurs et ce n’est pas le propos ici. On parle du cœur. (…) Dans tout cela, beaucoup d’amour de l’autre au final, et une passion infinie pour le métier de professeur ; à l’heure où l’on se plaint de l’absence de candidats au concours, il me semble qu’il y a beaucoup pour nos dirigeants à trouver dans ton livre Marie-Hélène.


Le post complet :

Ce qui me plaît et me séduit dans le travail évoqué par Marie-Hélène dans les chapitres 6 et 7, c’est ce mélange de l’ancrage dans le réel et de l’utilité de l’apprentissage de la langue avec l’exploration de l’environnement de l’élève et sa mise en valeur. (…) Marie lui donne la parle avec ses outils (smartphones qui peuvent donc être un outil pour apprendre, et non pas diabolisé, ce que je partage pleinement) et valorise leurs témoignages, les aide et les guide. Découverte du passé esclavagiste de Nantes, rencontre avec un auteur autour de l'œuvre duquel on travaille en classe... Tout est fait pour montrer aux élèves qu’ils savent faire et peuvent faire. Je reste sans voix devant la beauté de la nouvelle écrite par l’un de ses élèves. Bravo à toi et à ton élève et merci de partager. Comment s’étonner qu’elle évoque aussi l’amour entre eux et elle ? Rien de surprenant ! Ses élèves, on sent qu’elle les a dans les tripes et le cœur Marie. Elle valorise sans cesse leur travail, les fait participer à des concours, met en avant leurs talents, leur regard sur le monde. Ils utilisent l’anglais pour exister dans le monde et être lus. Et ça marche ! Ils sont motivés, aiment ses cours. On parle, çà et là, du nouveau qui baisse... Et si on s’attachait plutôt tous à chercher ce qui fait redémarrer ce moteur de la motivation ? Que de clés en deux chapitres...
Le retour complet :
Frédéric Davignon

MERCI cher ami et collègue passionné et passionnant ! 

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