Quand un amoureux de la navigation écrit sur les navigateurs, cela donne un livre qui passionnera tous ceux qui aiment être balancés sur cette eau salée capricieuse qu’on appelle la mer, ou l’océan, là où des bourlingueurs, souvent inconscients des dangers – où qui les méprisaient –, se sont élancés à travers le temps, l’auteur n’hésitant pas à commencer son récit aux origines du monde avec Noé, ni plus ni moins !
L’existence de nos premiers marins, Noé, Ulysse, Leif le Viking n’est donc pas complètement attestée, mais leurs successeurs sont sans conteste historiques.
Dominique le Brun a choisi des marins et pas des skippers, et c’est ce qui fait tout l’intérêt de son livre. Tous ont en commun la voile comme moyen de propulsion de leurs navires, un moyen que l’on voit aujourd’hui comme un loisir, mais qui, en vérité, a permis en son temps de travailler, de transporter, et de découvrir le monde.
Les écrivains, les romanciers, qui comme Jack London ont écrit des récits réalistes d’aventures en mer, étaient naturellement eux-mêmes des navigateurs. Si le cas de London est connu, qui sait qu’Alexandre Dumas a parcouru les mers sur sa goélette le Monte Cristo, ou que Stevenson ne s’est pas contenté de parcourir les Cévennes à dos d’ânesse, mais qu’il s’est rendu aux Marquises sur un yacht de trente et un mètres ?
Lisez ce texte, vous ne serez pas au bout de vos surprises jusqu’au point final !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Bonjour !
Votre commentaire sera bientôt en ligne.
Merci d'échanger avec nous !
Gabriel et Marie-Hélène.