Merci infiniment pour ce beau retour !
Une femme dans une solide solitude, un verset de l’Ancien Testament d’une nouveauté qui fait frémir, un musicothérapeute adepte d’une théorie corpusculo-ondulatoire... musclée. Mais la musique adoucit les mœurs. Bifurcation vers Belle-Île en mer avant de prendre la direction de l’Orient où un « charmeur » de serpents très spécial sévit. On descend dans les octaves, les graves – le chant du cygne –, et puis le regard d’un jeune ouvrier est capté par la « jolie jeune femme du self » et on se dit que la musique adoucit les mœurs. Des bémols, des bécarres, des écarts... Quelle tessiture ! Vous avez compris « Dissonances » est un magnifique roman choral.
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Gabriel et Marie-Hélène.