Quand avez-vous
commencé à écrire ?
Bonjour Marie-Hélène. Il y a 15 ans, à la naissance de mon troisième enfant. J’avais pris un congé parental.
Bonjour Marie-Hélène. Il y a 15 ans, à la naissance de mon troisième enfant. J’avais pris un congé parental.
Quelles sont vos
principales influences ?
Houlà ! Je ne sais pas, j’ai des goûts très éclectiques !
Pour les romans classés « tranche de vie », je m’inspire des expériences que je
vis ou que je vois d’autres vivre autour de moi. Souvent j’en fais un savant
mélange. Sinon, comme je suis une passionnée d’histoire, j’utilise des
événements historiques pour les entrecroiser avec de la Fantasy (comme dans ma
trilogie ROSLEND), ou pour servir de toile de fond à une enquête (comme dans la
série « Le code Vivaldi » dont le premier tome va sortir en février 2020 chez
Didier jeunesse).
Quelle lectrice
êtes-vous ?
Compulsive ! Il me faut toujours avoir un livre sous la main.
Compulsive ! Il me faut toujours avoir un livre sous la main.
Quels sont vos 5 (ou
plus) romans préférés ?
En jeunesse : Le combat d’hiver de Jean-Claude Mourlevat ;
Tobbie Lolness de Timothée de Fombelle, « Et la lune là-haut » de Muriel
Zürcher.
En adulte : « Autant en emporte le vent » de Margaret
Mitchel et « Orgueil et préjugés » de Jane Austen. Oui, j’aime le romanesque
daté !
Que représente la
littérature pour vous ? la lecture ? l’écriture ?
L’évasion, la liberté, le plaisir, la peur, le rire, les
pleurs. En résumé la possibilité de vivre mille et une vies et d’apprendre
mille et une choses, de remonter le temps ou de vivre dans le futur !
Avec en prime pour l’écriture, la possibilité d’être au
volant et choisir la destination, la vitesse et les passagers !
Exercez-vous une
autre profession ?
Plus depuis 6 ans.
Avez-vous des
habitudes, de petites manies d’écrivain ?
J’écris sur mon canapé, adossée à l’accoudoir et les jambes
étendues. Je mange beaucoup de petits gâteaux et du coup je dois aller courir
régulièrement pour ne pas finir comme Agatha Christie !
Pourriez-vous nous
parler de l’écriture de ce roman ?
Ce roman est sorti assez naturellement. Pour des raisons
personnelles, il était important que je l’écrive et j’adorais Romain, mon
personnage. Son oscillation entre détachement ironique et souffrance me
permettait de jouer sur toute la gamme des émotions. C’était un plaisir aussi
de le faire interagir avec Adeline qui au départ ne devait être qu’un
personnage cité en passant dans un des premiers chapitres. Mais elle ne s’est
pas laissé faire, et leurs joutes verbales étaient un vrai bonheur à écrire !
Le mot de la fin ?
Y a-t-il vraiment une fin quand on est écrivain ?
Pour aller plus loin
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Bonjour !
Votre commentaire sera bientôt en ligne.
Merci d'échanger avec nous !
Gabriel et Marie-Hélène.