L’idée de participer au comité de lecture pour le prix Régine Deforges m’a immédiatement séduite : première expérience du genre ; curiosité intellectuelle ; travail à plusieurs autour des livres ; idée de découverte, de travail soutenu.
J’y ai ressenti la liberté de n’avoir pas d’étiquette professionnelle, pas de « casquette » ; d’être là comme LECTRICE.
Dès lors, j’ai eu toute latitude pour exprimer mon ressenti dans les comptes-rendus de lectures ; pas de contrainte, pas de modèle pour rédiger les fiches de lecture ni pour « défendre » tel ou tel ouvrage.
J’ai trouvé cette expérience très stimulante, car nécessitant de lire beaucoup et régulièrement.
Ce fut l’occasion de découvrir des livres vers lesquels je ne serais sans doute pas allée autrement.
Si, personnellement, je n’aurais pas retenu Les orageuses de Marcia Burnier, les autres livres sélectionnés remportent ma totale adhésion.
Je regrette que « soient passés à travers »
– Ce qu’il faut de nuit de Laurent Petitmangin
– Le fil rompu de Céline Spierer
– À trop aimer de Alissa Wenz
ainsi que d’autres, mais... il en fallait huit !
Je dirais donc que cette expérience fut stimulante, enrichissante, à renouveler...
Elle satisfait ma passion des livres qui ne fléchit pas : études, biographies, romans.
Avec un faible pour Stefan Zweig ; Andréi Makine ; Christian Bobin ; Jacqueline de Romilly, et tant d’autres, nouveaux ou anciens.
Passion pour le livre contenu et contenant (reliure, calligraphie, enluminure...).
Passion née dans l’enfance, développée lors d’études littéraires, et conservée jusqu’à ce jour.
"Une vie sans livres ?
Un jour sans soleil, un plat sans saveur, un paysage sans couleur. Le livre ? Le sel de la vie".
Laurence Dujoncquoy, retraitée, visiteuse assidue de la BFM.
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